On voit ici que la cithariste porte son instrument - la cithare d'Apollon -, à l'aide d'une large courroie (de cuir, sans doute) qui prend la caisse de résonance en écharpe et dans laquelle elle a passé sa main gauche. La musicienne s'avance vers un autel rond et semble tendre son plectre à une divinité ailée qui répand sur lui un liquide sacré. |